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conseil municipal - Page 33

  • RETOUR SUR LE CONSEIL MUNICIPAL : QUESTION SUR DES PERMISDE CONSTRUIRE A VANVES

    Lors du Conseil municipal du 15 octobre 2020, une question orale avait été posée par le groupe «Vanves En Marche» sur le nouveaux projets immobiliers dont un concerne les deux pavillons de la rue Fratacci qui pourrait être confié au promoteur/constructeur Eiffage : «De nouveaux permis de construire sont affichés dans la ville. Si nous trouvons désolant la disparition des dernières belles maisons Vanvéennes, nous sommes tout aussi désolés de voir disparaitre les arbres et jardins qui les agrémentaient et faisaient jusqu’à présent le charme de notre ville. Dans la période de réchauffement climatique où nous nous trouvons, nous voulons avoir l’assurance que la délivrance de ces permis de construire tient compte de la nécessité absolue de préserver des espaces verts afin de créer des ilots de fraicheur, il en va de votre volonté. En ce qui concerne le permis de construire délivré rue Fratacci, l’ensemble prévu se situe à proximité immédiate de l’espace Cabourg, dont le groupe scolaire est très minéral. Nous serons extrêmement vigilants sur ce point d’espaces verts à préserver dans les nouvelles constructions afin de garantir la protection des enfants lors des épisodes de canicule. Pouvez-vous d’ores et déjà nous confirmer que ce point est acté ?» a demandé Séverine Edou (LREM). 

    «Plusieurs chantiers sont en cours sur Vanves et, en effet, des permis de construire délivrés depuis plusieurs mois, voire plusieurs années, sont affichés dans la ville, sur les terrains concernés. S’agissant des « nouveaux permis de construire » évoqués dans la question, il s’agit probablement des demandes de permis de construire en cours d’instruction, qui donnent lieu à un affichage devant le Centre Administratif, en application de l’article R.423-6 du Code de l’urbanisme. Sur les 34 dossiers figurant sur la liste ainsi affichée, 4 portent sur des terrains abritant aujourd’hui des maisons, dont la démolition est envisagée à l’occasion de ces projets. Lors de l’instruction de ces dossiers, comme d’ailleurs lors de l’instruction de tous les dossiers, une attention particulière est apportée au respect des règles du PLU en matière d’espaces verts (règles que la commune souhaite voir renforcées lors d’une prochaine évolution du PLU) et au respect des recommandations de l’Architecte des Bâtiments de France sur la protection du patrimoine bâti. Sur ce point, il est précisé que la commune a d’ores et déjà demandé à l’Etablissement public territorial (EPT)  Grand Paris Seine Ouest  (GPSO) de réaliser une étude du patrimoine bâti et paysager, qui comportera notamment des recommandations susceptibles d’être intégrées dans le règlement du PLU lors d’une prochaine évolution de ce document» a indiqué le maire adjoint chargé de l’urbanisme. «S’agissant du «projet rue Fratacci » cité dans la question, il s’agit probablement du projet envisagé sur le terrain sis 40 et 42 rue Antoine Fratacci. La commune, qui n’est pas à l’initiative de ce projet, n’a pas été consultée avant le dépôt de la demande de permis de construire intervenue fin septembre. Ce dossier est aujourd’hui en cours d’instruction. Aucune autorisation, contrairement à ce qui est indiqué dans la question, n’a donc été délivrée sur ce terrain».

  • PROJET D’HOTEL A VANVES : TROP D’INCERTITUDES POUR LA REPUBLIQUE EN MARCHE

    Après avoir donné quelques extraits des observations des écologistes, d’associations comme le collectif du 4 septembre, et de vanvéens, il ne manquait plus que celles de la République en Marche données par Jean cyril Le Goff lors du conseil municipal de Jeudi dernier. D’ailleurs parmi les vanvéens qui se sont déplacés pour assister à ce conseil, quelques uns ont été étonnés par les propos du maire sur la majorité silencieuse qui approuve la politique menée par la muicipalité, mais qui peut aussi la désaprouver ( ?), sur ses esprits fossilisant qui s’opposent à ce projet et à la constitution d’un pole hôtelier autour  de la porte de la Plaine. Ce qui n’est pas vrai, car ils s’opposent surtout à la hauteur démesurée de cet hôtel dans ce quartier qui pourrait être très bien à rabaisser à une hauteur similaire à l’hôtel Mercure, et à la disparition d’arbres et d’espaces verts dans une ville qui en contrepartie de ses nombreuses nouvelles constructions, ne se reverdit pas, et aux problèmes de stationnement et de circulation qu’engendrait ce nouvel hôtel, avec notamment les cars de tourisme qui s’ajouteraient à ceux de l’hôtel Mercure déjà nombreux en période normale.

    Les marcheurs ont expliqué qu’ils adhéraient tout d’abord aux préconisations de la CCI des Hauts de Seine  qui suggére de «créer une zone commerciale intégrée ou non à l’espace hôtelier, avec une offre commerciale de proximité et de services ouverts sur la ville de Vanvesour répondre aux besoins de la clientèle hôtelière, des salariés et des habitants du secteur». Ensuite aux observations du Préfet des Hauts de Seine qui attirait l’attention sur « le risque que constitue l’augmentation des hauteurs de par et d’autre du boulevard périphérique en participant à la création d’un bouclier urbain plus ou continu d’immeubles d’activités et de bureaux». A ses yeux, il conviendrait que «les projets de la ville de Paris et des villes limitrophes situés en bordure du périphérique puissent davantage s’harmoniser dans un projet urbain élaboré  à une plus grande échelle »

    Ils ont expliqué, par la voix de Jean Cyril Le Goff qu’ils ne pouvaient  ignorer les nombreuses inquiétudes et remarques des riverains en citant une vanvéenne – «En relisant votre programme, je retrouve bien une mention à une modification du PLU intégrant « une dimension  écologique renforcée… ». Permettre la construction d’un hôtel de 37 M de haut en lieu et place d’une lignée d’arbres, est-ce cela qu’il fallait comprendre derrière cette définition ? Comment avoir confiance dans la parole donnée par l’équipe municipale si la première mesure consisterait à reneir complément le programme pour lequel, elle a été élue ? »  -  ou ce Président d’un conseil syndical d’une copropriété située rue du 4 septembre qui avait noté que «dans le dossier de concertation de Mai 2019, la hauteur annoncée était d’environ 31 m, et de lors de la réunion e concertation du 2 Juillet 2019, il était annoncé un immeuble de R+7 de 28 m de hauteur » ou encore ce Président du conseil syndical d’une copropriété située rue du Moulin qui fort justement relevait que «de grandes difficultés sont à craindre pour le stationnement des autocars. De même que l’hôtel Mercure, le nouvel hôtel recevra des groupes de touristes en dehors des périodes de salons (été principalement) et ceux-ci arriveront en autocars. Or, La situation devant le Mercure est souvent anarchique et dangereuse. Les emplacements de stationnement réservés étant insuffisants, des autocars stationnement en double file pendant la montée ou la descente des passagers, ce qui n’est pas sans danger pour les véhicules qui empruntent cette portion de rue en courbe, sans visibilité. La situation sera ingérable si des autocars stationnent également devant l’autre hôtel en empiétant totalement ou partiellement sur la chaussée, le trottoir étant trop étroit pour la création La desserte par autocar ne peut être assurée que depuis l’intérieur du Parc».

    Et demander au Commissaire enquêteur d’émettre les préconisations et amendements suivants :

    -Réduire le plafond de hauteur autorisé, afin d’assurer une meilleure cohérence avec les bâtiments situés sur la rive opposée de la rue du Moulin ( l’hôtel Mercure a 25m de haut, Mama Shelter et le Novotel ont 31m de haut) tout en faisant remarquer que le quartier doit d’ailleurs répondre aux exigences du périmètre des 500 mètres autour d’un bâtiment historique, le Lycée Michelet.

    -Prévoir des prescriptions pour limiter l’impact du projet sur les plantations et imposer des mesures compensatoires pour maintenir la trame verte le long de la clôture du Parc ainsi qu’une plantation d’alignement sur l’ensemble de la rue du Moulin.

    -Prévoir des prescriptions imposant la prise en compte par le projet de ses besoins de desserte (qu’il s’agisse d’un hôtel ou de toute autre construction) sans gêne supplémentaire pour la circulation et la vie locale (dépose par autocars, taxis …) ».

    Et de conclure : « Devant l’existence de plusieurs petites zones d’aléas très forts où toute construction nouvelle est interdite, nous demandons qu’une information complète paraisse dans le journal, sur le site internet de la ville et qu’une réunion publique d’information soit organisée. Les Vanvéens ont le droit de savoir s’ils sont sur ou à côté d’une de ces zones dangereuses » a déclaré Jean Cyril Le Goff (LREM), et en annonçant devant « trop d’incertitudes qui persistent dans ce dossier » l’abstention des 3 élus LREM

  • CONSEIL MUNICIPALDE VANVES : QUELQUES QUESTIONS BRULANTES, DES POSITIONS FERMES, SANS POLEMIQUES

    Pour des raisons de prévention sanitaire, le conseil municipal s’est tenu Jeudi soir à la Palestre pour respecter les régles de distanciation et a duré prés de 3H. Ce qui nécessitera peut être d’avancer l’heure de la prochaine réunion du Conseil à 17H ou 18H si le couvre-feu est prolongé début décembre, comme l’a indiqué le maire de Vanves. Une 13e maire adfointe a été élu : Julier Messier, pour animer l’un des 3 Conseils de Quartiers. Kevin Corté maire adjoint à la sécurité a été chargé des questions de Défense. Sandrine Bourg maire djoint aux affairessocialesreprésentera la ville au Conseil de la vie Social de Simon de Cyréne qui est présent depuis plus de 10 ans maintenant. Ainsi 32 délibérations étaient inscrites à ce Conseil avec quelques sujets brûlants sur lesquels le blog reviendra, qui ont provoqué de courts débats, sans polémique, chacun campant sur ces positions, côté majorité comme de l’opposition.

    Ainsi la révision du PLU dont l’enquête publique a pris fin le jour même, comme l’a constaté Pierre Toulouse, qui permettra la construction d’un hôtel de 37 m de haut. Le conseil municipal a donné bien sûr son feu vert, malgré l’opposition des écologiques qui ont voté contre et qui n’ont pas manqué de constater que « ce projet a surpris les vanvéens », que cette révision introduit 3 dérogations dont la hauteur, son implantation à la limite de la voire, et la suppression de l’obligation de prévoir un parking de stationnement. Les marcheurs qui se sont abstenus, ont relevés les réserves de la CCI des Hauts de Seine, l’inquiétude des riverains, sa hauteur, sa proximité avec un site classé, le lycée Michelet (photo de la vue simulée depuis ce lycée, à l'angle M.Yol/Jullien)  auquel veille l’Architecte des Bâtiments de France, et les nombreuses incertitudes entourant ce projet.  «Vous nous demandez votre avis 2H après la fin de l’enquête publique. Vous auriez pu attendre deconnaitre l’avis du commissaire enquêteur » a remarqué Jean Cyril Le Goff (LREM).  «L’enquête publique permet de s’exprimer. D’ailleurs beaucoup de vanvéens ne sont pas déplacés. C’est la majorité silencieuse qui s’exprime ? Preuve qu’ils approuvent notre projet sur lequel nous avons été élu » s’est contenté de répondre le maire en insistant sur le pôle hôtelier qui se construit à la porte de la plaine et en ironisant sur ces « quelques esprits fossilisants » face au développement de ce quartier ( ?)

    Révolution dans la restaurant collective, la ville ayant porté son choix sur Sodexo, dont le siége est à Issy les Moulineaux, qui remplacera Elior en Décembre 2020. «On regrette le choix de la DSP pour la restauration, qui nous conduit à arbitrer entre deux géants » ont déclaré les écologistes qui se sont abstenus et  ont remarqué que le cahier des charges a tenu compte de l’avis des parents. « Je les rejoint sur ce point. Mais je demande à la municipalité de revenir à la cuisine centrale » a demabdé Séverine Edou (LREM). «Vous nous renvoyez en 2028. Nous avons une approche différente. On souhaite la meilleure qualité. Mais il y a d’autres critères notamment la sécurité alimentaire. J’ai accompagné la transition de la liaison chaude à la liaison froide (au début des années 1990). Sauf à avoir une cuisine dans chaque établissement…Ou une cuisine intercomunale…solution difficile à mettre en place, ce qui me parait inenvisageable » a répondu le Maire. «C’est pourtant ce que font 4 communes dans le sud des Hautsde Seine » selon JC Le Goff (LREM).  

    Enfin, à l ‘occasion d’une nouvelle subvention de la ville de 130 000 € à l’équipe Vanves GPSO Basket, les écologistes se sont inquiétés d’une équipe basket sous perfusion en demandant quels sont les effets sur les jeunes de l’évolution d’une équipe à un haut niveau. « Ces questions sont fondées. La municipalité réfléchit à une remise à plat de la politique sportive. Je suis preneur des avis des uns et des autres. Je souhaite que l’on reprécise la politique sportive de Vanves. Car on n’est pas seulement un prestataire de services, ni un tiroir caisse. On a des idées sur ce que l’on souhaite pour le sport à vanves en lui redonnant du sens et recréer un collectif pour que chacun ait sa place dans ctte politique sportive et surtout les petits (clubs et équipes)» a indiqué le Maire. Ce qu’il a sûrement dit et expliqué lors du Comité directeur du Stade de Vanves qui s’est tenu hier soir et auquel il a participé